Abidjan, 25 Octobre 2023-La Ligue/-La société a généralement une attitude très réprobatrice envers les cas viols et les agressions sur les mineures. Pourtant, ces crimes sont considérés comme particulièrement graves, en raison de la vulnérabilité des survivant.es. Mais surtout, à cause de l’impact psychologique et physique qu’ils peuvent avoir sur la vie des survivant.es. C’est pourquoi, la protection des mineures et la prévention de la violence sexuelle à leur encontre doivent être des priorités majeures dans de nombreuses sociétés.
Au fil du temps, il y a heureusement eu une prise de conscience croissante de l’ampleur de ce problème, et de la nécessité de réagir de manière plus efficace. Les mouvements de défense des droits des femmes et des enfants, ainsi que les organisations de lutte contre les violences sexuelles, ont joué un rôle essentiel dans la sensibilisation sur ces questions et dans la promotion de mesures visant à protéger les mineures.
Les sociétés ont adopté des lois plus strictes pour punir les auteurs de violences sexuelles sur les mineures, et pour garantir la protection des victimes. Les peines encourues pour ces crimes ont été alourdies et les délais de prescription ont été prolongés dans de nombreux pays. Les systèmes judiciaires ont également été encouragés à traiter ces affaires avec sérieux et à garantir une justice équitable pour les survivant.es.
En outre, l’opinion publique est devenue de plus en plus sensible à ce problème. Les médias jouent un rôle important en mettant en lumière les affaires de violences sexuelles sur les mineures, ce qui permet de briser le silence et de sensibiliser davantage le public. Il y a une volonté croissante de soutenir les survivant.es, de leur offrir des espaces de parole sécurisés, et de les orienter vers des services d’aide et de soutien spécialisés.
Cependant, il est important de rappeler que malgré ces progrès, les violences sexuelles sur les mineures restent un problème persistant. Il reste encore beaucoup à faire pour prévenir ces crimes, soutenir les survivant.es et garantir une réponse adéquate de la part des autorités et de la société.
Cela nécessite un engagement continu de la part des gouvernements, des communautés et de chaque individu pour lutter contre ces violences et protéger les droits des mineures POUR QU’ELLES NE SOIENT PLUS JAMAIS SEULES !
